En parallèle de son master en études genre et de son travail au sein des services d’accès à la RTS, Elise Payot est rédactrice en cheffe du webzine du Lab de décadréE.

À travers cet engagement, elle souhaite encourager les jeunes personnes intéressées par les thématiques de genre et d’égalité à expérimenter la rédaction et les techniques journalistiques de manière libre et créative. Ainsi, son rôle consiste à coordonner l’équipe de contributeuricexs du webzine et à leur offrir un espace de réflexion et de production d’articles divers et variés.

En tant que réalisatrice, Aurélie croit en la capacité du cinéma à écrire de nouvelles histoires et à forger de nouveaux modèles en vue d’une société plus égalitaire. Elle est attentive aux questions sociales soulevant des problématiques de genre et d’intersectionnalité. Elle nourrit ainsi son inspiration.

Écrire pour décadréE consiste, pour elle, à partager ses observations afin de s’engager activement dans la lutte contre les inégalités de genre.

Adepte de l’édition de pages Wikipédia féministes et de broderie « girl power », Camille a réalisé un Master en Histoire et esthétique du cinéma à l’Université de Lausanne avant de se diriger vers la médiation culturelle.

Au quotidien, elle s’astreint à faire autant rire les gens que de les faire réfléchir sur le patriarcat, et apprécie de débattre autour d’un verre à propos de l’éco-féminisme, de la collapsologie mais aussi des coussins à mémoire de forme et du crossfit.

Carlotta travaille dans la finance, un univers qui n’est pas irréprochable en matière de sexisme et qu’elle observe d’un œil avisé.

Car depuis qu’elle a découvert le féminisme grâce aux autrices de BD engagées qu’elle suit, elle ne cesse de se questionner sur ce monde qui l’entoure.

Travaillant dans le milieu culturel en tant que responsable communication, Céline Hürzeler s’attache à mettre en avant des artistes et leur travail. Elle envisage la culture comme un outil d’émancipation et une source de joie.

C’est avec la même envie de comprendre et déconstruire la société dans laquelle elle vit, qu’elle explore les questions de genre à travers l’écriture.

Tout a commencé en lisant Molière, Racine et Shakespeare. Que des hommes, lui direz-vous ? Ces auteurs lui ont donné le goût de la lecture et du théâtre, elle a alors découvert Sarah Kane et Kate Tempest, joué Chimène, Jeanne d’Arc et Lucrèce Borgia…Tout d’un coup, elle n’était plus entourée que de femmes….

Diplômée du Conservatoire National de Paris, elle joue, met en scène et écrit.

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Un intérêt pour le journalisme, un poste à L’auditoire, le journal des étudiant-e-s de Lausanne, et un éveil au féminisme plutôt tardif, mais puissant.

Et Fanny se retrouve correctrice à décadréE, dans l’objectif de continuer à se déconstruire et de contribuer au partage de réflexions.

C’est à l’université de Lausanne, à L’auditoire plus précisément, que Jérémy fait connaissance avec l’écriture journalistique et le féminisme ; il comprend la différence entre manspreading, mansplaining et men’s tears et, surtout, que le subjonctif imparfait dans les articles, c’est très chic mais pas forcément très adapté. Un jour, il ouvre un Despentes. Puis un autre. Puis un autre.

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C’est au cours de ses années d’études à l’Université de Lausanne que Line a découvert deux champs d’étude qui ont marqué la suite de son parcours : l’anthropologie et les études genre. Elle a exploré la question de la construction sociale des catégories de sexe au travers de l’analyse du parcours de transition d’une femme trans dans le cadre de son mémoire de master. Par la suite, l’envie de poursuivre son apprentissage à propos de la complexité et de la diversité des formes de vie l’a poussée à entreprendre une thèse de doctorat en anthropologie de la naissance.

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Découverte, dilection, déconstruction, Maeva aborde la vie en 3D. Elle profite ainsi du journalisme pour assouvir son désir de comprendre le monde.

Rat de bibliothèque (en plein Master ès lettres) et voyageuse (pendant une année seule en Asie), Maeva se nourrit de contraires et se passionne tant pour la culture que pour les questions sociales.

Pour Margaux Cardis, le monde du journalisme, c’est tout nouveau!

Son but à travers ses articles: prouver que les mots peuvent changer le regard porté sur un individu, un groupe ou une problématique et ainsi ouvrir de nouvelles perspectives.

Marine a fait des études de sociologie et de communication. La sociologie lui a donné des outils pour comprendre le monde ; la communication lui a donné envie d’en parler.

C’est justement pour parler et lutter contre les inégalités qu’elle a rejoint décadréE.

Très officiellement biologiste-botaniste, animatrice naturaliste et illustratrice, Maud aime mélanger ces mots pompeux en -iste et -ice pour aborder toutes sortes de thématiques.

Très sensible aux questions de genre et aux luttes féministes, participer à l’équipe de correcteurices lui permet de s’impliquer un peu tout en restant cachée un peu.

Etudiante en Lettres et passionnée de culture, Mélanie s’intéresse aussi à l’actualité et aime questionner le monde qui nous entoure et les constructions sociales dans lesquelles on vit.

Intriguée par les questions de genre, les stéréotypes qui leur son liés et aux « rôles » supposés des hommes et des femmes, pour elle, écrire pour décadréE c’est l’occasion de s’informer sur des questions passionnantes et partager cela avec les lectrices et lecteurs!

Intéressée depuis longtemps par les représentations qui sont faites des femmes et des lesbiennes dans l’espace public (ce qui est souvent synonyme d’invisibilisation!) Nadia a pu approfondir ces sujets notamment durant ses études et continue à se documenter sur ces thématiques. Elle éprouve également une certaine curiosité quant à la manière dont on laisse certaines personnes s’exprimer – au détriment d’autres – dans les médias car elles sont considérées comme « neutres ».

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J’aime les mots, leur texture, leur saveur, leur histoire et ils me le rendent bien. Depuis 2105, année de mon diplôme en journalisme, ma plume s’attache à mettre en valeur des parcours, des initiatives, des rêves, etc. Je travaille en tant qu’indépendante, et habite à Aigle, VD. J’écris pour Altus-Magazine, La Vie à Crans-Montana, Le Point Chablais, Select-Magazine…

En tant que responsable événements et communauté de la maison blanche – coworking à Monthey, VS, j’ai modéré une douzaine de discussions en lien avec l’agriculture, le tourisme et les industries créatives.

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D’une formation de graphisme à des études de neuro-ingénierie, Nawal est en perpétuelle exploration. Le fil rouge? Elle aime (se) poser des questions et multiplier les manières d’y répondre. Ses questionnements l’ont amenée à s’intéresser aux comportements humains: comment fonctionnons-nous, en tant qu’individus et que société? Et pourquoi?

Mieux comprendre, pour mieux déconstruire, la passionne. Ecrire pour décadréE, c’est une occasion de nourrir et partager ses réflexions, avec un angle féministe qui lui est cher.

Etudiante en anthropologie à Neuchâtel, Nina passe des heures à cuisiner (puis manger), lorsqu’elle n’est pas en train de profiter de sa «chambre à elle» en écoutant, en brodant ou en regardant un documentaire. Nina se questionne constamment sur la société, qui la révolte souvent.

Elle découvre à travers ses études, mais surtout grâce à des journalistes, les théories féministes et intersectionnelles. Nina espère donc à son tour pouvoir partager ses réflexions et ses recherches en se lançant dans le monde du journalisme grâce à décadréE.

Étudiante en Relations Internationales, mention Politique Internationale et Géographie à Genève, elle est actuellement en mobilité à Madrid où elle suit des cours de Genre en science politique, sociologie, journalisme et communication.

Sa passion est d’en avoir beaucoup: les enjeux sociétaux, les voyages, les débats, la rhétorique, l’improvisation théâtrale… Avide d’expériences associatives et de convergence des luttes sociales, sa curiosité la menée jusqu’aux camps de réfugiéEs en Palestine et au TEDxUniGeneva 2019. Elle écrit pour s’engager.

C’est par la culture (surtout la musique, la littérature et le théâtre) ainsi que par son métier de psychologue et sexologue (notamment à SexopraxiS) que Romy souhaite rendre les humains plus aimants et tolérants envers la diversité des manières d’être.

Aborder des choses sérieuses mais sans lourdeur, telle est la devise qu’elle essaye de suivre. Au programme: on va SEXpliquer dans la chroNIQUE ! (Ah oui, elle aime aussi les jeux de mots. Vous êtes prévenuEs…).

Juriste de formation, Sofia Balzaretti rédige une thèse de doctorat en droit à l’Université de Fribourg où elle travaille sur la notion juridique de sexisme.

Elle s’intéresse de près à la philosophie féministe, et à tout ce qui touche le droit des minorités sociales. Ses publications scientifiques ou de presse visent à mettre en lumière les problématiques liées au genre sous l’angle du droit suisse et international.

Basée à Édimbourg où elle est étudiante en études françaises et francophones, Tamzin s’intéresse aux représentations du genre et des inégalités dans les langues, les littératures et les médias émergents. Elle mène actuellement un projet de recherche sur le lien entre podcasts, intersectionnalité et pratiques archivistiques. Son intérêt pour l’inclusivité dans les langues l’a menée à militer sur les réseaux sociaux pour l’usage d’une écriture épicène et inclusive en français. Elle écrit pour changer les mentalités et démanteler les systèmes hétéronormatifs et patriarcaux.

Diplômée d’un Master en Français et Histoire de l’Université de Fribourg, Velia Ferracini est passionnée de journalisme : anciennement responsable culturelle au sein du journal estudiantin Spectrum, rédactrice à la Page Jeunes de La Liberté ainsi qu’au blog littéraire L’Année du Livre Suisse, ses sujets de prédilection sont les questions d’identité de genre, les  inégalités sociales, les réflexions culturelles et la sexualité, dans l’espoir de sensibiliser ses lecteurices.

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Titulaire d’un Master en psychologie clinique et sociale, Victoria Swan (pseudonyme) s’intéresse aux questions de violences de genre, de masculinité ainsi qu’au féminisme.

En parallèle, elle aime écrire de la fiction, des articles et plus largement raconter le quotidien et les histoires de vie d’autrui. Avec décadréE, elle cherche à aborder les faits sociaux sous un angle critique et féministe afin de comprendre le monde qui l’entoure.

Sarah est une personne qui a toujours éprouvé le désir de venir en aide aux gens qui en ont besoin. Iel porte beaucoup d’importance aux activités en lien avec le care.
D’ailleurs plus jeune, Sarah souhaitait pratiquer un métier qui consiste à soutenir les victimes d’injustices.

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Elizabeth est une dessinatrice romande, qui illustre depuis longtemps des situations fantastiques ainsi que le monde réel.

Inspirée par grand nombre de bédéistes militant-e-s, elle se lance dans la BD chez décadréE pour dénoncer les injustices et analyser l’actualité.

Manon construit son univers graphique au fil de ses expériences, rencontres et voyages. Entre Paris, Hamburg et Tokyo, ses inspirations plurielles lui permettent de produire des créations variées et originales.

De nature curieuse, elle aime se confronter à la différence culturelle et tente chaque jour de comprendre la complexité du monde qui l’entoure. Sa pensée féministe a grandi avec elle au cours de ses explorations et s’exprime un peu plus à chaque illustration pour décadréE.

Pour Maybel Gadot, se présenter n’est clairement pas une tasse de thé. Elle a toujours préféré s’exprimer en créativité. Des illustrations aux costumes, elle n’a qu’une idée en tête, vous emmener rêver !

Membre du « Spectre Artistique », la tête toujours dans les étoiles, cette féministe queer et engagée voudrait donc vous apporter, l’espace d’un instant, un peu de légèreté!

Nina est graphiste, elle boit graphisme, elle mange graphisme, elle dort graphisme… Elle saute d’un projet à l’autre en jonglant avec ses logiciels et ses crayons. Et si elle fait autre chose que du graphisme, elle se débrouille pour y apporter ses compétences en communication visuelle malgré tout.

Présidente d’une asso d’effeuillage burlesque? Elle en fait aussi la communication. Membre d’une asso de Parkour? La communication de l’asso c’est elle. Pourquoi pas illustratrice pour un webjournal… surtout si les sujets à illustrer la touche et l’intéresse.

Illustratrice et Graphiste, Sara réside aux Etats-Unis après multiples voyages aux quatre coins du monde. Elle s’inspire de tous ce qui l’entoure pour créer des oeuvres qui parlent d’elles-même.

La plupart de ses illustrations s’inspirent de son entourage (entre autres: son adorable Shiba Inu, Kira et son chat, Snowy). Cependant, sa contribution à décadréE lui permet de s’exprimer sur des sujets plus sérieux dont elle n’aurai pas forcement eu le courage de partager toute seule.

Tom Wahli est un indécis. À cheval entre le dessin, la sculpture, la peinture, l’écriture, la comédie, la vidéo, le cinéma et les mèmes, il n’est pas sûr de grand chose.

Heureusement, le reste de la société a pu l’aider un peu en lui filant quelques étiquettes pour retrouver ses affaires: écolo, féministe, bobo, gauchiste, militant. Mettez tout ça dans un shaker, secouez bien et consommez très frais, ça devrait avoir un goût de Tom Wahli.

Zdenka est une illustratrice genevoise. Elle a fait des études d’illustration à l’ESA Saint-Luc de Bruxelles, section illustration et vit désormais à Genève.

Son trait aux allures animales navigue entre féminisme, ésotérisme et rêverie.

Styliste et illustrateur originaire du Valais. Peu importe le médium, son objectif reste le même: valoriser les différences et sublimer les dissimuléEs des sociétés en s’incluant dans des procédés de création éco-responsables.

Édité aux Éditions des Fleurs, freelance pour plusieurs marques écoresponsables françaises, ZÓNZÓN est très heureux de mettre son crayon au service des idéaux et des missions de décadréE.

Diplômée en philosophie et en littérature, Kaziwa n’a ni froid aux yeux ni la langue dans sa poche

Motivée et engagée, elle lie journalisme et éducation dans une perspective de sensibilisation aux discriminations sexistes et racistes, des thématiques qu’elle explore notamment au travers de son podcast L’InConfortable, un podcast 100% femmexs raciséexs qui traite de féminisme intersectionnelle.

Diplômée d’histoire et esthétique du cinéma à l’UNIL, Ludivine est passionnée par les questions féministes et sociales, qu’elle explore en écoutant beaucoup trop de podcasts.

Pole danceuse à ses heures, elle est le reste du temps plongée dans un livre, une série, ou en vadrouille dans un festival.

Pendant ses études en histoire et esthétique du cinéma, Océane a appris à décrypter le male gaze (tu sais, ce fameux regard androcentré qui domine notre société et qui décide que la femme doit s’en tenir au rôle d’objet).

Déterminée à encourager les femmes à se définir en tant que sujet, elle s’engage à dénicher dans les films et les séries les modèles de femmes indépendantes et inspirantes qui réveilleront l’héroïne qui sommeille en chacune d’entre nous.

Pendant longtemps, Sarah a eu de la peine à oser exprimer ses avis. Et puis elle a décidé d’apprendre à s’en foutre et a commencé à réaliser ce podcast.

Décharge, c’est un podcast de conversations autour des déclics féministes. Au micro de Sarah, des personnes se racontent au cours de discussions intimes et libres.

Historienne de l’art de formation, Christelle laisse sa curiosité la guider. Elle aime décortiquer les sujets qui la passionne pour mieux partager, débattre et en apprendre encore davantage avec celles et ceux qui croisent son chemin.

Convaincue que c’est en expliquant et en déconstruisant les stéréotypes qu’on peut (aussi) faire évoluer les mentalités, elle rejoint l’équipe de décadréE à qui elle prête son œil affûté.

Passionnée de cinéma et de lecture depuis sa jeunesse, Julie a peu à peu réalisé que l’image de la femme et la représentation LGBTQIA+ n’étaient pas (toujours) à leurs avantages.

Depuis, iel essaie de faire coïncider ses passions avec ses opinions, de même que d’apporter une dimension féministe ou LGBTQIA+ dans ses travaux universitaires. décadréE est donc un moyen pour iel de nouer son intérêt pour la correction à intérêt personnel et plaisir.

Après un Bachelor en Psychologie, Mathilde termine bientôt son Master en Science politique à l’Université de Lausanne. Passionnée par le journalisme, elle a intégré L’auditoire, le journal des étudiant-e-s de Lausanne, où elle a endossé le poste de co-rédactrice en chef.

Elle s’intéresse activement aux questions féministes et milite avec enthousiasme pour les droits humains. «Penser global et agir local», telle est sa devise.

Entre des études d’anthropologie à Neuchâtel, un travail de correspondante pour un média romand et quelques autres casquettes, Milena se réjouit de mettre à profit son sens du détail, sa curiosité et son envie de découvertes pour relire les articles de décadréE.

Suzanne est arrivée dans le milieu du journalisme un peu par hasard, encouragée par sa cousine qui faisait partie de L’auditoire, le journal des étudiantEs de Lausanne.

Actuellement co-rédactrice en chef de L’auditoire, elle étudie la psychologie et s’intéresse tout particulièrement aux questions de genre.