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Durant notre veille médiatique sur les thématiques LGBTIQ+, nous avons remarqué que plusieurs médias mélangeaient les questions trans*/non-binaires et intersexes, sans distinction claire. Une des explications est la reprise des discours politiques, qui lors des échanges sur une modification de la loi pour permettre l’ajout d’un “troisième sexe[1]” administratif et juridique, parlaient souvent des personnes trans* et intersexes comme un tout. Néanmoins, les enjeux de ces deux thématiques diffèrent, il est donc important de savoir les différencier pour ne pas transmettre des informations inadéquates au lectorat et à l’audimat.
[1] Nous reprenons le terme administratif, politique et juridique utilisé, bien qu’il soit question de genre.
Les définitions
Les personnes intersexuées sont des personnes dont le corps possède des caractéristiques liées au sexe biologique (organes génitaux, chromosomes, hormones, etc.) ne correspondant pas ou qu’en partie aux catégories biologiques binaires définies pour distinguer les sexes/corps dits « femelles » et « mâles ».
Une personne dont les caractéristiques liées au sexe biologique correspondent au schéma binaire mâle/femelle est une personne dyadique
Les questions d’intersexuation sont ainsi liées plus directement au sexe.
Tandis que les personnes trans* sont des personnes qui ne se reconnaissent pas, ou pas totalement, dans le genre assigné à la naissance. Ce terme regroupe un grand nombre de réalités. Il est néanmoins important de noter que toute personne a une identité de genre. Voici quelques exemples :
Les questions de transidentités sont donc liées au genre et plus précisément à l’identité de genre.
Les journalistes et l’intersexuation
Nos différentes recherches ont montré que les questions d’intersexuation sont très peu présentes dans les médias. Durant la recherche exploratoire, sur 145 articles analysés, 2 parlaient de l’intersexuation. Entre juillet 2021 et novembre 2022, sur 2’941 sujets médiatiques, 8 étaient consacrés aux questions intersexes, mais 23 traitaient de l’intersexuation et des transidentités, en lien avec des débats politiques.
Cette invisibilité participe à la méconnaissance globale sur ce sujet. Pourtant, près de 2% de la population serait intersexe. Les journalistes interrogé-es ont également dit avoir peu de connaissances sur ces questions, comparé à d’autres thématiques LGBTIQ+.
La confusion entre transidentités et intersexuation dans les médias
Un point que nous retrouvons régulièrement dans les médias est une confusion au niveau des définitions. Il y en a rarement mais lorsque c’est le cas, elles sont souvent incomplètes ou inadéquates sur les questions trans* et intersexes, ce qui ne permet pas de distinguer les deux thématiques.
Il y a également une réduction des enjeux autour du “troisième sexe” (juridique et administratif) et des toilettes “non-genrées”. Ces revendications sont tenues par exemple par les personnes non-binaires, mais pour les questions d’intersexuation, les spécialistes demandent principalement l’arrêt des mutilations génitales et des traitements médicaux non-consentis sur les enfants intersexes. Ainsi, en mélangeant ces deux thématiques, les médias participent à reproduire certains stéréotypes sur ces questions.
Un autre point d’attention est que les personnes concernées – qu’elles soient trans* ou intersexes – ont peu la parole dans les médias. Ce qui ne permet pas de les rendre vraiment visibles.
Articles analysés pour ce décryptage :
DécadréE travaille sur le traitement médiatique des thématiques LGBTIQ+ depuis fin 2020 et fait une veille de 19 médias romands. Nous avons pris des exemples parlant, sans volonté de pointer une rédaction (ou des journalistes) plus qu’une autre. Nous souhaitons montrer le manque de sensibilisation qui existe sur ces questions et proposer des outils concrets pour aider les journalistes pour un traitement plus respectueux des identités non-binaires. Nous proposons ainsi un lexique et un livret de recommandations sur les questions LGBTIQ+.
Le travail de veille médiatique des thématiques LGBTIQ+ de décadréE est soutenu par l’Office cantonal de l’égalité et de la famille de l’Etat du Valais, la Ville de Genève et le LGBTI Youth Fund.
A l’occasion du 25 novembre, Journée internationale pour l’élimination des violences sexistes et sexuelles, décadréE prends par à deux campagnes, à Genève et en Suisse.
Le 25 novembre est la Journée internationale pour l’élimination des violences sexistes et sexuelles. Elle a pour objectif de rappeler que les violences à l’encontre des femmes et des minorités de genre sont inacceptables et que l’élimination de ces violences est une responsabilité collective.

Dans le cadre de la campagne « 25 novembre – Genève », décadréE intervient à une table ronde le 19 novembre, à la Maison Rousseau, pour discuter des violences au sein du couple.

DécadréE participe également à la campagne des « 16 jours contre la violence basée sur le genre » qui débutera le 25 novembre 2024. En 2024, l’accent est mis sur le thème « Riposter et se reconstruire après les violences ».
« Violences sexistes et sexuelles: finissons-en! »
Le 25 novembre est la Journée internationale pour l’élimination des violences sexistes et sexuelles. Elle a pour objectif de rappeler que les violences à l’encontre des femmes et des minorités de genre sont inacceptables et que l’élimination de ces violences est une responsabilité collective.
A l’occasion du vernissage de POSTALE/VERSO, une expo photo sur les violences psychologiques, l’institut décadréE intervient à une table ronde le 19 novembre, à la Maison Rousseau, pour discuter des violences au sein du couple.
19 novembre 2024 – 18h00
Maison Rousseau Littérature
Grand-Rue 40 1204 Genève
Gratuit, entrée libre
POSTALE VERSO / CASA MOONRISE
Entre art et activisme, l’exposition photographique POSTALE / VERSO conçue par la cinéaste genevoise Laura Cazador (CH), en collaboration avec la photographe Anaïs Durmort (FR) et le collectif artistique Casa Moonrise, questionne le décalage entre l’apparence extérieure et les réalités internes/intimes. Son objectif ? Exposer la nature souvent invisible et diverse des violences psychologiques dans le couple.
« Riposter et se reconstruire après les violences »
L’immense majorité des femmes et des personnes sexisées font l’expérience de la violence de genre au moins une fois dans leur vie. Chaque expérience et chaque parcours de reconstruction est unique et individuel. Les ressources à disposition, la situation de handicap, la racialisation, l’âge et l’identité sont autant de facteurs qui vulnérabilisent davantage à la violence. Et pourtant, notre réponse collective est essentielle pour prévenir la violence et faciliter la reconstruction de ses victimes et survivant-es.
DécadréE participe à la campagne des « 16 jours contre la violence basée sur le genre » qui débutera le 25 novembre 2024.
Dans notre rapport de recherche publié en 2023, portant sur une veille médiatique entre juillet 2021 et novembre 2022, nous voyons que 369 sujets médiatiques sur 2’940 portent sur les questions d’identités de genre. Parmi ceux-ci, certains portent plus spécifiquement sur les jeunes trans* et non-binaires (moins de 18 ans). Nous proposons d’analyser ces sujets médiatiques pour mettre en évidence certaines formulations inadéquates pour un meilleur traitement médiatique de cette thématique.
Le traitement médiatique des jeunes trans* et non-binaires
Lorsqu’il est question de jeunes trans* et non-binaires, plusieurs des sujets médiatiques analysés dans la veille s’anglent sur la transition médicale, que ce soient des opérations chirurgicales ou des traitements hormonaux, malgré le temps d’attente moyenne de 2 ans pour débuter une hormonothérapie en Suisse(1).
Ainsi, les termes utilisés se concentrent sur l’aspect médical et non sur l’identité des jeunes, ce qui amène un aspect voyeuriste et sensationnaliste. Le traitement médiatique sur les jeunes trans* et non-binaires doit tenir compte de la diversité de leurs réalités et présenter des parcours variés. Il convient de ne pas le centrer uniquement sur les questions de transition médicale, alors que les questions de transidentités incluent également les transitions sociales et que les transitions médicales ne concernent pas forcément toutes les personnes, et ne concernent pas les enfants trans* et non binaires. En effet, une transition s’effectue souvent dans plusieurs sphères: familiale, scolaire, amicale, espaces de loisirs, espaces pré-professionnels – et peut concerner, selon l’âge et surtout le ressenti, un changement de prénom, de pronom, d’habits, un changement de genre à l’état civil, etc., outre les aspects médicaux tels que les bloqueurs de puberté ou l’accès à l’hormonothérapie.
Dans les sujets médiatiques analysés, les interviews sont effectués auprès de médecins, pédiatres et parents sous l’angle de la crainte des conséquences de la transition médicale. Si la diversité des points de vues fait partie de la culture journalistique, notre veille montre peu d’articles qui donnent la parole aux parents soutenants ni aux jeunes, pourtant directement concerné-e-xs par la thématique.
Il est par ailleurs rarement question de “jeunes trans” mais plutôt de “jeunes filles [qui] ont subi une ablation des seins”. Il y a ainsi du mégenrage (ne pas désigner les personnes selon leur genre ressenti) par exemple lorsqu’il est question de “jeunes filles” ou “fillette” pour parler de garçons trans.
De plus, il est important de noter que cette visiblité peut être compliquée pour les jeunes, qui sont une population vulnérable. Une enquête d’Unisanté sur la victimisation des jeunes a montré que les jeunes trans* et non-binaires étaient plus représenté-e-xs dans les victimes de racket, agressions sexuelles et harcèlement que les jeunes cisgenres. Les jeunes trans* et non-binaires ont également une moins bonne santé générale et annoncent plus de symptômes dépressifs que les jeunes cisgenres (2).
Globalement, les sujets médiatiques sur les questions LGBTIQ+ donnent peu la parole aux personnes LGBTIQ+ et/ou expertes. En effet, dans environ 70% des sujets analysés, celles-ci ne sont pas interrogées. Le traitement médiatique des jeunes trans* et non-binaires ne diffère ainsi pas : les jeunes sont très peu représenté-e-xs dans les médias. Iels n’y ont pas la parole même si cela les concerne directement. Il est pourtant important de les rendre visible, ainsi que leurs réalités, c’est ce qui sort de notre recherche auprès des jeunes LGBTIQ+, pour connaître leurs rapports aux médias. Il est ainsi important de leur donner la parole pour des représentations correspondant à leurs existences.
Sujets médiatiques analysés pour ce décryptage :
2023.02.19, Watson, « «Je suis un garçon, maman»: le nombre d’ados trans explose en Suisse »
2023.03.19, Le Matin Dimanche, « Les mineurs en transition sont de plus en plus opérés »
2023.11.08, La Télé, « Comprendre la transidentité pour l’accepter »
2023.12.11, Tamedia, « Des médecins ont été censurés après avoir exprimé leur inquiétude »
2023.12.11, 20 minutes, « Critiques de médecins peu écoutées »
2024.10.06, lematin.ch, Les bloqueurs de puberté sous le feu de la critique
DécadréE travaille sur le traitement médiatique des thématiques LGBTIQ+ depuis fin 2020 et fait une veille de 19 médias romands. Nous avons pris des exemples parlants, sans volonté de pointer une rédaction (ou des journalistes) plus qu’une autre. Nous souhaitons montrer le manque de sensibilisation qui existe sur ces questions et proposer des outils concrets pour aider les journalistes pour un traitement plus respectueux des identités non-binaires. Nous proposons ainsi un lexique et un livret de recommandations sur les questions LGBTIQ+.
Le travail de veille médiatique des thématiques LGBTIQ+ de décadréE est soutenu par l’Office cantonal de l’égalité et de la famille de l’Etat du Valais, la Ville de Genève et le LGBTI Youth Fund.
Suite à l’annonce de la suppression de près de 300 postes et de la fermeture de deux imprimeries par Tamedia, le plus important éditeur de Suisse, décadréE fait part de sa sidération et se joint aux inquiétudes.
Un journalisme de qualité demande du temps et des ressources. Les études sur le traitement médiatique des violences sexistes montrent que le contexte de rédaction des articles influencent la qualité des contenus.
L’institut est inquiet face à cette crise que traversent les médias romands, qui menace grandement la qualité et la diversité des contenus médiatiques.
En effet, cette annonce de restructuration suit celle de ESH Médias (Le Nouvelliste, Arcinfo, la Côte, etc.) faite en début d’année et celle de TX Group/Tamedia (24 Heures, La Tribune de Genève, 20 Minutes, mais aussi le Tages Anzeiger, Des Bund et Bilan, etc.) en 2023. Ces décisions économiques de gestion des ressources humaines fragilisent grandement la branche du journalisme et la garantie d’une information de qualité.
Révolutionnez votre communication : écriture, podcast, prise de parole. Prenez conscience des enjeux de genre dans les contenus et participez à nos formations selon vos besoins.
Institut de recherches et de formations et laboratoire d’idées sur l’égalité dans les médias, décadréE propose des formations dans les domaines de la communication et écriture inclusives ainsi que traitant des thématiques égalité et médias.
L’institut propose également, au travers de son laboratoire, le Lab, des ateliers de réflexion et de création pour se familiariser avec le monde des médias.
DécadréE, à la fois ancré dans la réalité du terrain et attentif aux changements et aux tendances, enrichit ses compétences et ses ressources au travers de son pôle de recherche pour vous proposer des prestations actuelles et de hautes qualités.

LUNCH MÉDIA
Traitement médiatique des questions intersexes
Il sera question de définition, de la diversité des variations innées des caractéristiques sexuelles, de (re)découvrir des éléments juridiques et médicaux sur ces questions.
ÉCRITURE INCLUSIVE
Prêter attention à sa communication, c’est toucher un plus large public, mais aussi faire correspondre son image à ses valeurs
Trois heures pour (re)découvrir l’histoire de l’écriture inclusive ainsi que les différents outils utilisés actuellement. Nous offrons une formation pratique et théorique qui permet de définir son style d’écriture inclusive.

PARLER EN CONFIANCE AUX MÉDIAS
Gagnez en assurance face aux médias et prenez votre place avec un message clair et impactant
Que se passe-t-il dans votre tête lorsque vous devez prendre la parole en public ou dans les médias ? Vous est-il déjà arrivé de refuser une intervention par crainte ou convaincue que vous n’étiez pas légitime ? Et si nous travaillons ensemble pour que vous gagnez en assurance ?
ÉDITION WEB
L’édition web sans les mains
Organisé en collaboration avec l’association des étudiantes et étudiants en Science de l’information et de la communication de l’université de Neuchâtel (Com’meet), cet atelier aura lieu à l’université de Neuchâtel, le vendredi 18 octobre. Plus d’informations sur le contenu ainsi que le horaires suivront sur nos réseaux sociaux et newsletter d’octobre.

LUNCH MÉDIA
Traitement médiatique des jeunes trans* et non-binaires
En amont de la journée du souvenir trans* du 20 novembre, nous vous proposons un moment de discussions et d’échanges sur la médiatisation des jeunes trans* et non-binaires.

ÉCRITURE CRÉATIVE
Réveille ta créativité avec PlanQueer
Qu’est ce qui te mets en mouvement? Qu’est ce qui nous permet d’avancer? Qu’est ce qui tire vers l’avant?

INITIATION AU PODCAST
Se lancer depuis sa cuisine!
L’atelier présente les étapes de la création de podcasts et donne les clés pour pouvoir lancer ses premières créations sonores.
ÉCRITURE INCLUSIVE ET NON-BINAIRE
Pour une langue qui inclut au-delà de la binarité
Avec une personne experte et concernée, décadréE propose une formation sur l’écriture inclusive non-binaire, pour (re)découvrir comment inclure toute personne au delà de la binarité et mettre en pratique des outils dans la langue.

LUNCH MÉDIA
Comment sont représentées les victimes de violences dans les médias?
Un lunch média pour aborder la question de l’image des victimes dans les médias. Quels termes utiliser ou éviter? Quelles sont les bonnes pratiques recensées?
ÉCRITURE INCLUSIVE ET ACCESSIBLE
Une langue avec et pour chaque personne
Afin de vous familiariser avec l’écriture non-sexiste et accessible et l’intégrer à vos pratiques professionnelles, nous organisons un cours d’écriture incluant pratique et discussion. Cette formation est réalisée avec Vision positive, partenaire en matière de déficience visuelle.
C’est bientôt le lancement des JO de Paris et, pour cette édition, la parité est de mise. DécadréE propose des recommandations pour leur couverture médiatique, applicables tout au long de l’année.
Les Jeux à Londres en 2012 sont les premiers où les femmes concourent dans tous les sports au programme. Aux Jeux à Rio en 2016, 45% des participant-es sont des femmes. Les Jeux Olympiques de Paris cette année sont les premiers à atteindre la parité sur l’aire de compétition! La couverture médiatique des compétitions des femmes est aussi primordiale car seuls 13% du contenu des rubriques sportives suisses leurs sont consacrés (2021).
Avec l’expertise de Nadia Bonjour, spécialiste en communication du genre dans le sport, décadréE propose quelques recommandations. Celles-ci sont issues des directives du Comité International Olympique pour une représentation égalitaire, équitable et inclusive des genres dans le sport.
Visibiliser les femmes dans tous les domaines
Faire attention aux biais et aux clichés dans le vocabulaire et les images utilisées

Autres outils pour ne pas biaiser ses messages
Un livret de recommandations sur les représentations médiatiques des femmes. Il fournit aux journalistes des solutions pratiques proposant la création de nouveaux modèles : il rappelle que les médias peuvent être un formidable outil de déconstruction des stéréotypes de genre.
Représentation méditaique des femmes➞
Les Jeux Olympiques de Tokyo 2020 ont vu la participation d’athlètes ouvertement transgenres et non binaires pour la première fois. Voici des recommandations générales pour le traitement médiatiques des thématiques LGBTIQ+, entre autres des recommandations spécifiques sur les questions trans* et non-binaires.
Traitement médiatique des questions LGBTIQ+➞
Photographies: Sky Brown, pour le skateboard et Natalia Grossman en grimpe.
La Jeunesse Socialiste Genevoise organise une table-ronde sur les transidentités dans les médias et a invité décadréE pour le panel !
DécadréE présentera quelques chiffres, éléments et recommandations de sa recherche sur le traitement médiatique des thématiques LGBTIQ+ en Suisse romande.
Le panel se compose également de Léon Salin (activiste et créateur de contenu), ainsi que de Mica Palaz (UNIGE).
La table-ronde sera modérée par Yasmine Berrada, membre de la Jeunesse Socialiste Genevoise.
Un apéro suivra l’événement.
DécadréE participe aux Journées du Matrimoine de Genève qui ont lieu du 6 au 8 septembre! Venez à notre rencontre autour de deux événements.
En avant-première, la diffusion de la websérie « Dans les yeux d’Émilie » créée par les jeunes du Lab de décadréE à partir des archives du magazine féministe genevois l’Émilie, édité entre 1912 et 2009 !
Retrouvez-nous directement à La Collective!
La projection sera suivie d’une table ronde sur les réseaux féministes.
Sur inscription : en savoir plus
Nous proposons de questionner de manière ludique les différences entre le patrimoine et le matrimoine, les réseaux masculins et féminins.
De 14h à 17h, nous serons là pour vous accueillir, jouer et discuter de ces thématiques. Passez quand vous voulez !
Des activités proposées avec le soutien du Service Agenda 21-Ville durable de la Ville de Genève dans le cadre des Journées européennes du patrimoine.
DécadréE est un institut de recherches et de formations, ainsi qu’un laboratoire d’idées, sur l’égalité dans les médias. En automne 2024, nous proposons un stage dans le cadre de notre programme média ayant pour objectif la sensibilisation et la recherche autour des masculinités dans la presse.
Tâches durant le stage (voir aussi le document joint « Cahier des charges ») :
Profil souhaité :
Modalités du stage :
Selon la loi en vigueur dans le Canton de Genève, la personne engagée comme stagiaire doit remplir une de ces trois conditions et une convention tripartite sera signée :
Étant une association avec peu de moyens, merci de postuler uniquement si vous correspondez à une de ces trois catégories.
Délai de postulation :
En cas de questions, n’hésitez pas à nous contacter à info@decadree.com